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Le monde est mort, et la nature a repris ses droits. Les cadavres se mettent à marcher, et les vivants se mettent à courir. Ils fuient, et ils survivent. Ils se battent, et ils se tuent. Ils se font confiance, et se ils trahissent. Ils meurent, et ils revivent.

Récolter des armes et des vivres, tuer des morts-vivants, et des vivants. Se faire une communauté, trouver un endroit sûr, piller des maisons et s'accrocher à l'idée que le monde redeviendra comme avant. Voilà ce qui est nécessaire pour survivre dans ce monde.

On pense toujours que la menace vient des morts, mais en réalité, ne vient-elle pas des vivants ? 

Dans ce contexte apocalyptique, nous pouvons assister à la création de toutes sortes de communautés ayant souvent du mal à trouver un terrain d'entente. Le refuge, plus communément appelé "Dawnbay" par ses habitants, abrite les survivants égarés et en quête de sécurité : entouré par de larges et hauts murs, il permet à ses résidents d'être protégés de l'infection et de toute menace extérieure. Chaque personne qui s'y trouve doit se rendre utile et effectuer les tâches communes afin de contribuer à la survie du camp. Cela passe par les raids pour récolter des ressources, à la protection des murs où encore à la cuisine. Dawnbay peut encore héberger de nouveaux réfugiés, à condition que ceux-ci ne mettent pas en péril la cohésion du groupe...

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